Au XXe siècle, les gains de productivité provenant de différents facteurs (motorisation, mécanisation, fertilisation minérale, sélection, spécialisation) ont été si énormes qu’ils ont entraîné une baisse très importante des prix réels (déduction faite de l’inflation) de la plupart des denrées agricoles, et que le rapport de productivité du travail entre l’agriculture manuelle la moins productive et l’agriculture motorisée et mécanisée la plus productive est passé de 1 à 10 au début du XXe siècle à 1 contre 500 aujourd’hui.